Le français au travail, ça se travaille !

C’est sous le thème « Le français au travail, ça se travaille ! » que le portail syndical Languedutravail.org lance sa campagne sur la francisation en milieu de travail, créée et produite par l’agence Upperkut.

Cette année, la campagne vise à sensibiliser les travailleurs et les travailleuses, plus particulièrement les jeunes de 18 à 35 ans, à l’importance de l’usage du français en milieu de travail, autant pour des questions de sécurité que d’intégration des personnes issues de l’immigration ou d’efficacité au travail.

Sous la forme d’une vidéo d’animation, des personnages de différents milieux vivent des situations où faire l’effort de la traduction et adopter les bonnes habitudes linguistiques peuvent faire une différence à la fois individuelle et collective.

« Lorsque Languedutravail.org nous ont approché pour travailler de nouveau avec nous, nous avons tout de suite dit oui ! », explique Marc Desnoyers, directeur du groupe-conseil chez Upperkut. « À nos yeux, l’animation nous semblait un médium tout désigné pour véhiculer un message de sensibilisation quant à l’usage de la langue française, qui soit valorisant. »

Avec cette vidéo, le portail Languedutravail.org souhaite rappeler que le français est la langue commune et que son usage en milieu de travail nous permet de mieux communiquer, de mieux échanger et de mieux performer.

Pour visionner la vidéo, cliquez ici.

À propos de Langue du travail

Ce portail est le fruit des efforts de plusieurs partenaires provenant de part et d’autre de l’Atlantique. Il a été réalisé avec l’aide des membres de la Table sectorielle de l’industrie aérospatiale de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) et de la Confédération générale du travail de France (CGT). On compte maintenant parmi les partenaires la Confédération des syndicats nationaux (CSN), la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), la Centrale des syndicats démocratiques (CSD) et la Fédération autonome de l’enseignement (FAE). Ce projet a été rendu possible grâce à une subvention de l’Office québécois de la langue française, dans le cadre de son Programme de soutien aux associations pour la promotion de la francisation dans les entreprises.